Gel douche, shampooing, liquide vaisselle… la liste des tensioactifs qui se glissent dans les bagages est longue. Mais : ils polluent tous les eaux usées. La solution durable, peu encombrante et peu lourde, est le savon naturel. Il est totalement exempt de composants synthétiques, il permet de se rincer, de se doucher et même de se brosser les dents, et le réservoir d’eaux grises reste ainsi exempt de produits chimiques nocifs.

Le vélo permet de se rendre sur place de manière rapide et flexible pour faire ses courses, aller à la plage ou au bar Sundowner. En outre, c’est parfait pour faire des tours fins et découvrir les environs.

Que dire : aucun endroit en Allemagne n’est baigné de soleil plus longtemps et plus intensément que Fribourg. Dans le Brisgau, il fait toujours quelques degrés de plus – et les gens sont nettement plus détendus. Les fleurs poussent, les abeilles bourdonnent et la Forêt-Noire attend. Elle attend entre autres, les randonneurs avec le Baumkronenweg et de nombreux autres itinéraires, mais bien sûr aussi les vététistes et les amateurs de vélo de course. Et pour les vététistes, le pèlerinage à Fribourg ne fait aucun doute, car la convivialité de la ville pour les cyclistes et les sentiers qui l’entourent sont légendaires. La saison sera officiellement lancée à la mi-avril avec le Bikefestival.

Comme son nom l’indique, le Tyrol du Sud ne peut pas être plus méridional. Dans les Dolomites, il y a encore de la neige, mais ici, on fait déjà du surf sur le lac de Caldaro. Vous pouvez enfourcher votre vélo de course ou votre VTT pour vous rendre dans la ville d’Eppan, située dans la région idyllique du Trentin, puis vous aventurer jusqu’aux premiers cols. Vous pouvez également faire du vélo et vous perdre sur les innombrables sentiers de la forêt de Montiggler.

Une randonnée jusqu’aux vignobles autour de Kaltern et Tramin vous permettra de faire une visite de cave. Le soir, vous pourrez siroter un apéritif au bord du lac de Caldaro, qui est d’ailleurs l’un des lacs de baignade les plus chauds de la région alpine…

Portorož et Piran sont deux villes côtières situées dans la partie slovène de l’Istrie, à environ 30 kilomètres au sud de Trieste. Piran se trouve sur un petit promontoire et se caractérise par son héritage vénitien : des ruelles étroites et de belles places, beaucoup d’art et de nombreuses églises. La ville voisine de Portorož, en revanche, a conservé sa tradition séculaire de station thermale et balnéaire, avec ses spas et ses marais salants. Se baigner dans la mer, découvrir le parc naturel de Strunjan, faire de la randonnée ou du vélo dans l’arrière-pays à travers les marais salants ou le long de la Parenzana, une piste cyclable de 130 kilomètres qui longe l’ancien tracé du chemin de fer à voie étroite entre Trieste et Poreč.

Lena : Pour moi, la principale différence réside dans la planification. Je planifie un itinéraire de voyage en solo de manière fondamentalement différente. Je prévois à l’avance où je vais m’arrêter et je cherche des emplacements ou des campings sûrs et de qualité. J’ai choisi ma destination de manière à pouvoir surfer, mais aussi avec un endroit sûr pour dormir. De plus, j’ai des amis sur la côte atlantique à qui je voulais rendre visite. Pendant le voyage, j’essaie de faire une petite pause toutes les deux ou trois heures et je ne roule pas plus de six à huit heures par jour.

En outre, je télécharge des podcasts ou des livres audios intéressants. Par exemple, les podcasts « Tout est dit » ou « Crimes » du site Die Zeit sont des podcasts passionnants. Ce que je peux aussi recommander, c’est de s’arrêter pour manger, sinon on peut vite salir le véhicule et être distrait énormément pendant le trajet. En effet, sans passager, certaines choses deviennent un peu plus difficiles en conduisant.

Lena : En voyageant seul, on est bien sûr confronté à soi-même. Pour être honnête, c’est ce qui m’a mise à l’épreuve lors de mon dernier voyage. J’avais la chance et en même temps la liberté et la malédiction de devoir prendre chaque décision moi-même. Et ce n’est pas toujours aussi simple qu’on le pense. Mais quand tout se passe comme on l’a imaginé, cela vous donne naturellement plus de confiance en soi lorsqu’il s’agit de prendre des décisions.

Lena : Le matin, je mets le réveil environ une heure avant le lever du soleil, puis je reste encore une demi-heure au lit. Une fois levée, je commence par me préparer un café, puis je regarde la mer, un gobelet à la main. Si la mer semble bonne, je vais directement surfer après le café. Ensuite, c’est le petit-déjeuner.

Mais parfois, je donne rendez-vous à des connaissances ou à des amis pour un deuxième surf, un déjeuner ou un dîner. Entre-temps, se rajoutent encore les choses ennuyeuses comme faire les courses ou remplir le camping-car.

Le virtuose du treuil a été émerveillé lorsque nous lui avons présenté le treuil de 500 mètres fixé sur le toit de notre Adventure Van. A Walchensee en Bavière, Felix a trouvé l’endroit idéal pour déclencher le treuil et commencer sa session.

Une aventure sans limites vous attend ! Notre camper van CLIFF 4×4 à quatre roues motrices, ultra robuste, affronte tous les terrains avec aisance. Profitez dès maintenant de cette offre exceptionnelle chez les concessionnaires participants et dans la limite des stocks disponibles. Lancez-vous dans une incroyable aventure, sans aucune restriction !

Inclus : obturateur de cabine et modification de la dînette en couchage.

Découvrez nos camping-cars exclusifs et profitez de cette offre exceptionnelle chez les concessionnaires participants et dans la limite des stocks disponibles ! Nos profilés offrent un mélange parfait de flexibilité et de confort, idéal pour des aventures spontanées. L’espace généreux de nos capucines convient parfaitement aux familles, tandis que nos intégraux combinent confort extrême et design élégant.

Inclus : obturateur de cabine, modification de la dînette en couchage et lit de pavillon (selon modèle). 

Même les jours où il fera peut-être trop froid pour sortir, vous ne vous ennuierez pas. Quelques jeux et des goûters peuvent être une solution. Sinon, les activités à l’intérieur, comme l’escalade en salle, sont idéales pour occuper activement les journées pluvieuses.

Mais bien entendu, vous pouvez également poursuivre vos activités de plein air préférées malgré la pluie, après tout, nous ne sommes pas en sucre. Le VTT, en particulier, est vraiment amusant lorsque le terrain est boueux, et ensuite vous pouvez faire du rafting, où l’on se mouille de toute façon, et ainsi redevenir propre.

Peu importe donc le type de vacances automnale que vous choisirez, qu’il s’agisse de vacances de surf en Espagne ou au Portugal, de vacances de ski dans les Alpes, d’un trekking ou d’une randonnée en VTT dans les environs. Préparez votre camping-car, partez en voyage et profitez de l’automne et de tous ses avantages.

Vous êtes ensuite parti seul avec le T 670 S…

Oui, nous avions constamment de la visite. Au cours des huit premières semaines, nous n’avons été seuls qu’une seule fois pendant 24 heures. Au départ, je voulais aller au Portugal, mais je me suis simplement rendu dans l’arrière-pays de Malaga, j’ai cherché des spots isolés, j’étais dehors avec Lotte dans la nature. Le matin, les moutons passaient devant nous et c’est tout. Cette pause m’a fait un bien fou. Simplement me recentrer sur moi-même et faire à nouveau des choses à mon rythme.

Est-ce votre façon de voyager ?

Oui, tout à fait. Déjà parce que j’adore être dehors. Avec le camping-car, on est plus proche de la nature, on ressent la météo, on vit tout plus intensément. Et sur le plan professionnel, c’est idéal. On campe en haut, au point de départ des pistes, et on jette un coup d’œil le matin pour voir si le ciel est nuageux ou dégagé. Et on est totalement spontané, ce qui vaut son pesant d’or.

C’est à vous de décider si vous souhaitez briquer l’intérieur de votre camping-car. Cependant, certaines choses ne sont pas négociables. Vous devez absolument supprimer tout ce qui pourrait, de près ou de loin, développer des odeurs ou attirer les souris ou d’autres nuisibles. Videz toutes les réserves de nourriture, aspirez les miettes et essuyez les surfaces. Le réfrigérateur a également besoin d’un bon nettoyage : dégivrez, séchez et aérez-le bien ! Ouvrez toutes les portes des placards afin que l’air puisse circuler et que l’humidité ne s’accumule pas. Protégez les coussins et les matelas de l’humidité en les surélevant ou en les posant sur une base respirante. Il est également préférable de retirer de votre camping-car les textiles et matériaux susceptibles d’absorber l’humidité (comme le papier toilette).

Éteignez tous les appareils électriques et coupez l’alimentation en électricité et en gaz. Débranchez la batterie pour éviter une décharge lente – mais vérifiez d’abord que tout est éteint. Commencez toujours par retirer la borne négative, puis la borne positive ! Si vous garez votre camping-car à l’extérieur ou dans un bâtiment froid, il est préférable de retirer la batterie et de la stocker à température ambiante. Cela s’applique également aux appareils électroniques que vous n’utilisez pas, tels que le sèche-cheveux ou le réfrigérateur.

Garez votre camping-car sur un terrain plat et enclenchez une vitesse tout en desserrant le frein à main. Gonflez vos pneus d’environ 0,5 bar pour réduire l’usure et contrer la perte naturelle d’air. Si vous le pouvez, recouvrez votre camping-car d’une bâche respirante pour éviter la condensation (oubliez la bâche en plastique !). Et si vous voulez vraiment protéger votre véhicule, vérifiez le de temps en temps – aérez-le et rechargez la batterie tous les deux mois si vous ne l’avez pas retirée.

Faire l’impasse sur les chaînes à neige

Penser « ça va aller ! »

Si on vous demande de mettre des chaînes à neige dans un col de montagne, FAITES-LE ! Hormis le fait de vous mettre vous-même en danger, vous risquez une amende. Si vous mettez d’autres usagers de la route en danger, l’amende augmente en conséquence. Si vous provoquez un accident, vous risquez une procédure pénale.

Ne pas avoir d’équipement d’hiver

Se retrouver les mains vides

Ce qu’il faut absolument avoir à bord en hiver : une pelle, un balai et une échelle pour pouvoir déneiger le toit – et vous devriez le faire régulièrement, pas juste avant le départ. Ce qu’il faudrait également emporter : une lampe frontale (!), un tapis (ou un tapis en microfibres à séchage rapide) qui isole le sol et le rend plus confortable, ainsi que des gants de travail robustes, afin que vos gants propres ne soient pas utilisés pour des choses grossières comme l’installation des chaînes à neige.

Cela va vous surprendre : en été, les températures sont plus chaudes et les journées plus longues. Oui, nous le savons tous. Mais il faut vraiment être conscient qu’en hiver, on passe nettement plus de temps dans le camping-car. Emportez donc suffisamment de livres et de jeux, un bloc (et un stylo), peut-être un ukulélé (il vaut mieux laisser le saxophone à la maison) ou préparez à l’avance une liste de podcasts et de livres audio.

Le camping hivernal est une expérience à nulle autre pareille. Tant que vous évitez ces interdits, une période magique et sans stress vous attend. Restez en sécurité, restez au chaud et profitez pleinement de la saison !

Certaines personnes apprennent très tôt que les obstacles ouvrent souvent la porte à de nouvelles opportunités. Julia Mehner, pensionnaire d’un internat sportif à Berchtesgaden et en route pour une carrière de skieuse professionnelle, a vu son rêve brisé par une blessure. La frustration était immense, la chute brutale, mais elle a rebondi – direction Innsbruck et surtout les pentes vierges du freeride. Aujourd’hui, elle est l’une des meilleures freerideuses des Alpes. Autant dire qu’un hiver sans neige la rend nerveuse…

Le manque de neige ne concernait pas seulement les Alpes, mais aussi les Hautes Tatras, chez Viktor Novák, le compagnon de Julia. « Nous avions un projet prévu là-bas, mais même en février, pas un flocon à l’horizon. C’était vraiment frustrant. » Viktor est aussi freerider, mais en été, il construit des pistes de VTT dans le Bikepark Kalnica.

Pendant dix jours, Julia et Viktor vivent une expérience de ski totalement hors du commun. Ils gravissent les pentes lunaires et désertiques du volcan fumant, frôlent une coulée de lave au ralenti. Au sud, les longues montées sont exigeantes, tandis qu’au nord, ils empruntent les téléskis pour profiter de pentes plus raides et plus fun.

Vous souhaitez personnaliser votre véhicule selon vos envies? Alors nos modèles de série sont faits pour vous. Ils vous offrent une base solide à un tarif accessible – à vous de choisir les équipements qui comptent vraiment. Leur aménagement fonctionnel va à l’essentiel, sans fioritures, pour vous laisser un maximum de liberté.

⚡Châssis: nos camping-cars sont basés sur le Citroën Jumper, tandis que nos camper vans reposent sur le Peugeot Boxer – deux porteurs fiables, aux implantations bien pensées et à la technologie éprouvée.

💰Tarif: nos camper vans de série sont disponibles à partir de 54 090 € et les camping-cars à partir de 56 290 €.

🛏Équipement: couchage, cuisine et cabinet de toilette sont intégrés – tout ce qu’il vous faut pour partir à l’aventure.

En tant que professionnel du snowboard, les périodes de travail sont clairement définies : TOUJOURS ! Du moins pendant les mois d’hiver (ce qui inclut le mois de mai).
Et c’est particulièrement vrai quand un grand projet de tournage est en préparation, avec des destinations comme Tux et Laax, mais aussi le Japon et la Chine – tant que c’est dans l’hémisphère nord.

Jamais, au grand jamais – un sportif professionnel de sports d’hiver n’aurait l’idée de partir en plein été dans l’hémisphère sud. JAMAIS !
Sauf bien sûr…

« Pour les surfeurs, la Nouvelle-Zélande est clairement une destination de rêve, car il n’y a pas autant de monde sur les spots. En France ou en Espagne, la moitié de l’Europe s’y rend et les line-ups sont bondés.
En Nouvelle-Zélande, il y a bien des spots connus, mais tu longes la côte et tu peux simplement t’arrêter là où les vagues sont bonnes. Il y a eu des jours où nous n’étions que deux dans l’eau – c’est exactement ce que tu recherches tout le temps. »

Le road trip les emmène dans des banlieues aux airs de Texas, puis sur des spots de surf hipster au parfum d’Indonésie.
On trouve des endroits où l’on ne vit que de burgers et de frites, d’autres où seuls le flat white et la cuisine fusion comptent, jusqu’à la densité multiculturelle des zones urbaines. Et il y a toujours ces moments inoubliables : « Les couchers de soleil les plus incroyables sur le relief côtier. »

Mais qu’est-ce qui pousse Yanneck à délaisser son snowboard en pleine saison pour une planche de surf ?

« Je pratique le snowboard et le wakeboard depuis si longtemps et de manière tellement intense. Malheureusement, ce n’est pas le cas avec le surf. Bien sûr, les autres sports me passionnent toujours autant, et je continue de progresser. Mais la courbe d’apprentissage n’est plus aussi raide. Avec le surf, j’ai une nouvelle motivation, c’est une vraie mission pour moi, et j’apprends tous les jours. »